Communautés et sociologie | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale

    Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne, et la Deuxième Guerre mondiale éclate.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/88701348-4f67-46ea-8586-d6b497afa359.jpg Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale
  • Article

    Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale

    Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne, et la Deuxième Guerre mondiale éclate.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e06cd521-88ae-4f9d-8950-02a0c45141f9.jpg Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale
  • Article

    Les Enfants de la paix/The Children of Peace

    Les Enfants de la paix/The Children of Peace. Secte religieuse active, de la deuxième à la neuvième décennie du XIXe siècle, dans la région ontarienne de Sharon (aussi connue sous le nom de Hope jusqu'aux années 1860 mais surtout sous celui de Sharon à partir des années 1840), au sud du lac Simcoe.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Les Enfants de la paix/The Children of Peace
  • Article

    Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens

    Bien que les premiers pensionnats indiens du Canada aient été créés dans l’intention d’assimiler les enfants des Premières Nations à la culture euro-canadienne, les enfants métis et inuits ont également été placés dans ces établissements. Les enfants métis vivaient des conditions quotidiennes semblables aux autres élèves des pensionnats, mais ils étaient souvent considérés comme des marginaux par leurs pairs et les administrateurs. Cette perception a affecté leurs expériences au sein de ces institutions de diverses façons particulières.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/MetisExperiences/Webp.net-resizeimage.jpg Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens
  • Article

    Les femmes autochtones et le droit de vote

    Le contexte du droit de vote pour les femmes autochtones a été autant influencé par le colonialisme que par la discrimination fondée sur le sexe. Les femmes autochtones (membres des Premières Nations, des Métis et des Inuits) ont obtenu le droit de vote à différents moments de l’histoire canadienne. Le processus a été associé à l’émancipation, volontaire ou non, ce qui signifie que les femmes autochtones pouvaient bénéficier des droits de vote et de citoyenneté canadienne au détriment de leurs droits ancestraux ( voir Droit de vote des peuples autochtones).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2617aa3c-9753-4851-b870-a29783e97387.jpg Les femmes autochtones et le droit de vote
  • Article

    Les femmes et la traite des fourrures

    En 1639, un Algonquin déclarait au jésuite missionnaire Paul Le Jeune : « Vivre parmi nous sans femme, c’est vivre sans aide et sans foyer et être condamné à une errance permanente. » S’il est vrai que l’importance d’avoir un foyer et une femme ne voulait peut‑être plus dire grand‑chose pour ce prêtre jésuite, itinérant et célibataire, pour de nombreuses Premières Nations, cette citation évoque les avantages sociaux, économiques et politiques du mariage, en particulier dans le contexte de la traite des fourrures. Les femmes autochtones fabriquent et raccommodent les vêtements, conservent les viandes, récoltent le sucre d’érable et des légumes racines comme les navets, piègent le petit gibier, attrapent les poissons avec des filets et cultivent le riz sauvage, toute une palette d’activités absolument essentielles pour la survie et la subsistance dans les forêts boréales, les terres boisées des prairies et les plaines nordiques où vivent les sociétés de la traite des fourrures. Les mariages entre les clans (voir Clan) permettent aux femmes des Premières Nations, dans le contexte d’un vaste monde autochtone interconnecté, de forger des lignées de parenté étendues, d’établir des obligations sociales et des liens réciproques et de négocier l’accès à des ressources communes et leur utilisation. Les mariages entre différents villages, différents clans et différentes Premières Nations façonnent la politique régionale, encouragent les alliances matrimoniales latérales et créent un réseau de parenté étendu géographiquement diversifié, sur l’ensemble du territoire des bassins versants des Grands Lacs et du Saint‑Laurent ainsi que de la baie d’Hudson et de la côte du Pacifique (voir L’océan Pacifique et le Canada).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/WomenFurTrade/TrappersWifeCropped.jpg Les femmes et la traite des fourrures
  • Article

    Les femmes et le sport au Canada : une histoire

    À la période précoloniale, les femmes autochtones pratiquent des sports tels que le shinny et le baggataway (ancêtre de la crosse), mais les idées arrêtées sur les capacités des femmes et sur leur place dans la société, que les colons européens propagent en Amérique du Nord font en sorte que les femmes de toutes les origines ont un accès restreint à la compétition sportive durant une grande partie de l’histoire du Canada.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Les femmes et le sport au Canada : une histoire
  • Éditorial

    Éditoriale: Les femmes noires dans les arts

    L'article suivant fait partie d'une exposition. Les expositions précédentes ne sont pas mises à jour. Les femmes noires sont parmi les artistes les plus innovantes du Canada. À la fois femme et personne de descendance africaine, elles sont motivées à surmonter une histoire faite de préjugés et de marginalisation. Poètes, dramaturges, cinéastes, musiciennes et artistes visuelles, les 15 femmes présentées dans cette exposition refusent de se limiter à un seul médium ou de se laisser définir par un style. À travers leur art, elles ont su prendre le pouls de cette culture multitâche et multidisciplinaire du XXIe siècle. Ainsi, Dionne Brand est une poète récipiendaire de nombreux prix, mais aussi une écrivaine, une cinéaste et une professeure accomplie. Lillian Allen pour sa part, s’est épanouie dans la poésie dub, récitant ses vers accompagnée par de la musique reggae. Comédienne, trey anthony est aussi dramaturge et cinéaste. Toutes ces femmes et plusieurs autres présentées ici-bas, sont des militantes passionnées et des représentantes engagées de leurs communautés.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ee1f817b-7ddb-4e03-9a02-e51f833c78da.jpg Éditoriale: Les femmes noires dans les arts
  • Éditorial

    Les femmes sur les billets de banque canadiens

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le visage de la reine Elizabeth II figure sur le billet de 20 $ depuis les huit ans du monarque; les femmes canadiennes identifiables, elles, ne sont pourtant apparues sur un billet de banque canadien qu’une seule fois. En 2004, la statue des Cinq femmes célèbres de la Colline du Parlement et de la Plaza olympique à Calgary ainsi que la médaille du Prix Thérèse-Casgrain du bénévolat figuraient au verso du billet de 50 $. Ces femmes ont été les premières Canadiennes à être illustrées sur notre monnaie. En 2011, toutefois, on les a remplacées par un brise-glace nommé en l’honneur d’un homme (voir Roald Amundsen). Le nouveau billet fait partie d’une série visant à souligner l’innovation et les réalisations techniques, série qui apporte son lot de controverse. À l’exception d’une scientifique anonyme illustrée sur le billet de 100 $ émis en 2011, et de deux femmes officières des Forces armées et une jeune fille sur le billet de 10 $ émis en 2001, les femmes canadiennes brillent par leur absence des billets canadiens. Le 8 mars 2016, Journée internationale de la femme, la Banque du Canada lance une consultation publique afin de désigner un personnage emblématique féminin à mettre en vedette sur un billet de banque publié dans la prochaine série, dont l’impression est prévue pour 2018. Plus de 26 000 personnes répondent à l’appel, envoyant leurs idées. Parmi les noms suggérés, 461 satisfont aux critères d’admissibilité. La liste est ensuite raccourcie à 12 noms, et finalement on crée une liste courte de 5 candidates. On annoncera la sélection finale le 8 décembre 2016. Mais comment en est-on arrivé là?

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/872b7e98-03f8-4457-85b8-5657ff4e4f65.jpg Les femmes sur les billets de banque canadiens
  • Article

    Les Francophones d'Alberta (Franco-Albertains)

    Les explorateurs et les voyageurs qui sillonnent les Prairies aux 18e et 19e siècles laissent leur marque dans la toponymie des cours d’eau et des postes de traite. L’agriculture et l’industrie pétrolière attirent nombre de migrants du Québec, de l’Acadie, de l’Ontario et des provinces voisines, mais aussi de la Nouvelle-Angleterre, de la France et de la Belgique. En 2016, 418 000 Albertains (10,5% de la population) sont d’origine française ou canadienne-française (voir Francophone; Alberta; Histoire de la colonisation des prairies canadiennes.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/francoalbertains/franco_albertan_flag_drapeau.jpg Les Francophones d'Alberta (Franco-Albertains)
  • Article

    Haudenosaunee (Iroquois)

    Les Haudenosaunee, ou « peuple des maisons longues », communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », sont membres d’une confédération appelée « Confédération Haudenosaunee ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c78ecb73-d7ac-4834-bc1e-a6d6bf206331.jpg Haudenosaunee (Iroquois)
  • Collection

    Inuit

    Cette collection étudie la culture, l’histoire et la société inuites au moyen d’expositions, d’images, de vidéos et d’articles. Ces sources illustrent également l’importance des terres de l’Arctique, des animaux et de l’environnement pour l’identité inuite et la vie dans le Nord.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/homepage_features/Inuit2.jpg Inuit
  • Éditorial

    Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. « La liberté et une ferme. » La promesse est attrayante pour des milliers d’Afro-Américains qui se sont battus dans des régiments britanniques lors de la Révolution américaine (1775-1783) et qui cherchent à fuir l’esclavage. Suivant la guerre, ils se joignent à des dizaines de milliers de loyalistes, des réfugiés américains s’étant battus aux côtés des Britanniques. Entre 80 000 et 100 000 loyalistes en viennent à fuir les États-Unis. Près de la moitié d’entre eux se rendent en Amérique du Nord britannique. Les vagues principales arrivent en 1783 et 1784. Le territoire qui comprend aujourd’hui les provinces maritimes devient le domicile de plus de 30 000 loyalistes. Les colons décident alors de s’installer principalement sur les côtes de la Nouvelle-Écosse, au Cap-Breton et à l’Île-du-Prince-Édouard (alors nommée l’Île-Saint-Jean).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/be13527b-b76d-408a-afca-30acbd4f7bfc.png Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse
  • Article

    Les « mères fondatrices » de l’immersion française au Canada

    Olga Melikoff, Murielle Parkes et Valerie Neale ont été à la tête d’un groupe de parents dont l’action a favorisé la création, en 1965, du premier programme d’éducation bilingue à l’école élémentaire Margaret Pendlebury, située à Saint‑Lambert, une banlieue de Montréal, au Québec. Leur militantisme en matière éducative a jeté les bases du système d’immersion en français au Canada. Les efforts déployés dans ce domaine par Olga Melikoff, Murielle Parkes et Valerie Neale leur ont valu le surnom de « mères fondatrices » de l’immersion en français au Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/MothersofFrenchImmersion/Mothers-of-Immersion_30th-Anniversary1.jpg Les « mères fondatrices » de l’immersion française au Canada
  • Éditorial

    Les Métis sont un peuple, pas un processus historique

    Afin de promouvoir une meilleure compréhension de la question complexe de l’identité métisse et de son évolution au fil du temps, L’Encyclopédie canadienne a commandé deux articles d'opinion qui explorent différentes perspectives liées à ce sujet. Cet article se penche sur l’identité métisse selon le point de vue des Métis ayant des liens ancestraux avec la colonie de la rivière Rouge. Pour une autre perspective sur l'identité métisse, voir Les « autres » Métis.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/cbb299c8-c0b7-460c-add9-2e245342dc9b.jpg Les Métis sont un peuple, pas un processus historique